Anne BEDORET, comment joindre l'utile à l'agréable

Anne Bedoret, quant à elle, a fait des études d’ingénieur agronome à l’Université Catholique de Louvain. Anne a quatre enfants et avec son mari, habite le charmant village de Merbes-le-Château dans le Hainaut.

Elle gère avec son époux, une ferme de cultures venant de ses parents.  On y trouve des céréales, des betteraves, du lin, des pommes de terre et du colza.

Au sein de son exploitation elle assure le suivi des cultures et de l’administration de celle-ci.  Elle partage avec son époux les travaux des champs, mais lui laisse l’entretien et l’amélioration du matériel agricole.

Tous deux membres du CETA de Thuin, ils ont un regard sur les nouveautés agronomiques et techniques.

Anne dit avoir une grande chance : son mari ne provient pas d’une famille agricole, il pose un tout autre regard sur l’organisation et la façon de faire… Toutes les bonnes habitudes sont remises en question.

 

Anne a toujours été sensible aux problèmes environnementaux.  Elle fait d’ailleurs depuis de nombreuses années un excellent travail dans la « Commission Structures et Environnement » de la Fédération Wallonne de l’Agriculture.

Son exploitation est gérée selon des pratiques agricoles dites « raisonnées » : utilisation modérée de pesticides, semis basse densité, techniques simplifiées de semis mais labour si besoin, bandes aménagées et couverts…

Anne s’est beaucoup questionnée sur son rôle en tant que citoyenne et agricultrice, ainsi que sur sa responsabilité à l’égard du monde et de l’héritage qu’on laisse à nos enfants. Elle a souhaité en tant qu’agricultrice prendre sa place dans ce que l’on appelait encore peu à l’époque « Le développement durable ».

 

Etant confrontée au problème d’entretien des bords de bois, des talus boisés et autres « saules têtards » et ayant une grande maison difficile à chauffer, ils ont décidé de faire d’une pierre deux coups. 

Afin de valoriser tous les taillis qu’il y avait autour de leurs champs, le couple a ainsi investi dans une chaudière à broyat de bois.  Investissement lourd mais jamais regretté car les déchets sont ainsi valorisés et la ferme tourne en circuit court pour chauffer la maison.

 

De plus, comme elle le dit si bien, cette activité de récolte et de broyage se fait en couple… ce qui  leur apporte un équilibre…

Quoi de mieux que de lier ainsi l’utile à l’agréable. 

Anne BEDORET ou comment joindre l'utile à l'agréable

Anne Bedoret,  a fait des études d’ingénieur agronome à l’Université Catholique de Louvain. Anne a quatre enfants et avec son mari, habite le charmant village de Merbes-le-Château dans le Hainaut.

Elle gère avec son époux, une ferme de cultures venant de ses parents.  On y trouve des céréales, des betteraves, du lin, des pommes de terre et du colza.

Au sein de son exploitation elle assure le suivi des cultures et de l’administration de celle-ci.  Elle partage avec son époux les travaux des champs, mais lui laisse l’entretien et l’amélioration du matériel agricole.

 

Tous deux membres du CETA de Thuin, ils ont un regard sur les nouveautés agronomiques et techniques.

Anne dit avoir une grande chance : son mari ne provient pas d’une famille agricole, il pose un tout autre regard sur l’organisation et la façon de faire… Toutes les bonnes habitudes sont remises en question.

Anne a toujours été sensible aux problèmes environnementaux.  Elle fait d’ailleurs depuis de nombreuses années un excellent travail dans la « Commission Structures et Environnement » de la Fédération Wallonne de l’Agriculture.

 

Son exploitation est gérée selon des pratiques agricoles dites « raisonnées » : utilisation modérée de pesticides, semis basse densité, techniques simplifiées de semis mais labour si besoin, bandes aménagées et couverts…

Anne s’est beaucoup questionnée sur son rôle en tant que citoyenne et agricultrice, ainsi que sur sa responsabilité à l’égard du monde et de l’héritage qu’on laisse à nos enfants. Elle a souhaité en tant qu’agricultrice prendre sa place dans ce que l’on appelait encore peu à l’époque « Le développement durable ».

Etant confrontée au problème d’entretien des bords de bois, des talus boisés et autres « saules têtards » et ayant une grande maison difficile à chauffer, ils ont décidé de faire d’une pierre deux coups. 

 

Afin de valoriser tous les taillis qu’il y avait autour de leurs champs, le couple a ainsi investi dans une chaudière à broyat de bois.  Investissement lourd mais jamais regretté car les déchets sont ainsi valorisés et la ferme tourne en circuit court pour chauffer la maison.

 

De plus, comme elle le dit si bien, cette activité de récolte et de broyage se fait en couple… ce qui  leur apporte un équilibre…

Quoi de mieux que de lier ainsi l’utile à l’agréable. 

Devenir membre UAW

Promotion et défense des intérêts des agricultrices et des femmes vivant en milieu rural
Animation et formation continue
S’informer, se rencontrer et échanger
Accès aux services juridique et technique FWA